C’est à Barcelone où il avait été nommé au début des années 1930, que José Vazquez Santiago avait adhéré au syndicat CNT des cheminots adhérent à la Fédération nationale de l’industrie ferroviaire (FNIF).

Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps. A la Libération, il participa activement à la réorganisation confédérale et en 1946 était à Toulouse le contact du Comité régional de Galice en exil. Il fut également à plusieurs reprises membre entre 1956 et 1966 du Comité de relations de la FNIF. A l’été 1963, lors d’une assemblée plénière, il avait été nommé secrétaire à la presse (responsable du bulletin Cultura ferroviairia) du Comité de la FNIF dont le secrétaire était Angel Marcos Salas et le trésorier Felipe Seseña. Il résidait alors 4 rue des cinq clous.

Dans les dernières années de sa vie il fut membre du Comité national de relations de la Ligue des mutilés et invalides.

José Vazquez Santiago est décédé à Toulouse le 6 janvier 1992.