Juan Gonzalez Diaz avait émigré encore très jeune en Catalogne où il s’était fixé à Moncada (Barcelone) et avait adhéré à la CNT. Il travaillait à la cimenterie locale.
Passé en France lors de la Retirada, il s’installa ultérieurement à Fumel où il milita à la FL-CNT et à la Solidarité internationale antifasciste (SIA). Juan Gonzalez Diaz, qui était le père de 6 enfants, est décédé à l’hôpital Purpan de Toulouse le 14 janvier 1969.