Militant de la CNT dans la région d’Alagon (Saragosse) depuis au moins le début des années 1930, Antonio Gomez Mozota, après le coup d’État franquiste de juillet 1936, s’était retrouvé dans la zone contrôlée par les factieux. Il parvint par la suite à passer en zone républicaine. Passé en France lors de la Retirada, il s’installa ensuite à Marseille où il continua de militer à la FL-CNT et à la Solidarité internationale antifasciste (SIA) dont il fut le secrétaire local.
Antonio Gomez Mozota est décédé en juin 1988 à Perpignan où il se trouvait chez son frère concalescent d’un accident d’automobile. Antonio Gomez avait légué son corps à la science.