En août 1884 Jean Étienne avait été l’objet d’une perquisition où la police avait saisi un cahier de notes sur la fabrication de dynamite. Après 4 mois de préventive Jean Étienne, accusé d’un attentat, avait été condamné à Roanne en décembre 1884 à 3 ans de prison tandis que le compagnon A. Jarroux était condamné à 10 mois de prison.
Comme de nombreux compagnons tant à Paris qu’en province il fut arrêté fin avril 1892 préventivement à la manifestation du 1er mai, inculpé pour « association de malfaiteurs » avant d’être rapidement relaxé faute de preuves. Inscrit à l’État des anarchistes de Roanne de décembre 1893, il y était qualifié de "très dangereux".