En mai 1892 un individu se disant anarchiste et venant de Lyon avait demandé à Hubin l’hospitalité puis lui avait propose d’écrire une lettre de menace au procuteur général de Reims. Hubin, étant le seul anarchiste de la comune, avait refusé en disant qu’il serait obligatoirement arrêté. Pendant soin absence l’individu avait alors fait écrire la lettre de menaces par la peite sœur de Hubin. Peu après la police perquisitionnait à son domicile, saisissait un cahier d’écriture de la sœur et identifiait cette écriture, entraoinant l’arrestation de Hubin qui fut poursuivi. Lors de l’audience il avait déclaré « Condamnez moi Messieurs. Je dopute que votre conscience soit aussi tranquille que la mienne ». Condamné à 13 mois de prison, 100 francs d’amende et 10 ans d’interdiction de séjour, il s’était alors écrié : « Compagnons restez ferme pour la défense de notre cause. Vive l’Anarchie ! ».