Arrigo Repetto militait après la libération dans le mouvement libertaire à Gênes où en 1951 il était membre du Comité d’initiative antimilitariste. Il était également le correspondant local du journal Solidaridad obrera (Paris), organe de la CNT espagnole en exil. En 1952 A. Repetto avait founi au militant espagnol José Lluis Facerias, lors de son séjour en Italie, des faux papiers d’identité au nom d’Alberto de Luigi. Ultérieurement, et bien que conservant des contacts avec le mouvement libertaire, A. Repetto adhéra au parti socialiste. Arrigo Repetto est mort à Gênes en septembre 1970.
Mort en septembre 1970
REPETTO, Arrigo
Gênes