Militant aragonais réfugié en France après la guerre, Dionisio Miranda Jimenez, qui n’avait jamais pu aller à l’école, s’était installé à Carcassonne (Aude) où il résidait 41 rue du 4 septembre. En 1947 il avait été nommé secrétaire de presse et propagande de la FL-CNT aux cotés de José Muñoz (secrétaire), Juan Cor (vice secrétaire), Juan Benet (trésorier) et Alberto Cartagena (juridique).
Dionisio Miranda Jimenez, qui quelques années avant avait été amputé des deux jambes puis était devenu aveugle, est décédé à Carcassonne le 12 juillet 1966.