Au printemps 1891 Félix Sube était de retour d’Algérie avec le compagnon R. Pujol avec lequel il faisait alors une série de conférences à Béziers et Narbonne. Il demeurait 86 avenue de Pézenas et son nom figurait sur un carnet d’adresses saisi en mai 1892 chez Sébastien Faure à Marseille. Le 10 mai 1892, il fut arrêté pour « outrages » au garde champêtre de Lespignan (Béziers) alors qu’il colportait la chanson Le Cri des peuples qualifiée par les autorités de « véritable cri de guerre contre l’état social actuel ». Il avait également été trouvé porteur d’une correspondance avec d’autres anarchistes. Il figurait en janvier 1894 sur une liste de correspondants des journaux anarchistes établie par la police et demeurait alors 72 avenue de Pezenas à Béziers.
SUBE, Felix
Algérie — Béziers (Hérault)