A l’été 1895, Francesco Clemente figurait sur l’État signalétique confidentiel des anarchistes étrangers non expulsés résidant hors de France. Il était alors dit journalier et son domicile était inconnu.
Le 9 janvier 1896 Francesco Clemente, se disant Billardello, fut l’objet d’un arrêté d’expulsion du Gouverneur général d’Algérie qui lui avait été notifié à Bône.