M. Pericaud avait été l’objet le 1er janvier 1894 d’une perquisition comme une vingtaine d’autres militants de Limoges. La police avait saisi un exemplaire du Pète Peinard et un de La Révolte.
A l’automne 1903 il était l’un des animateurs du groupe de Limoges où il demeurait 6 rue du Fouril