Au début des années 1890 Ludovic Lebourlier avait été signalé dans le Tarn-et-Garonne comme « anarchiste convaincu » qui vendait ou donnait le journal La Révolte et l’organe antisémite Le Commerce. Il avait subi 4 condamnations. Au début janvier 1894 il était de passage à Toulouse où il ne fut pas considéré par la police comme anarchiste mais où il fut toutefois perquisitionné avant de disparaitre de la ville.
Le 30 janvier 1893 il avait été poursuivi à Albi pour avoir crié « Vive Ravachol ! Vive Vaillant ! Vive l’Anarchie ! » mais avait bénéficié d’un non lieu.