Au moment du coup d’État franquiste de juillet 1936, José Pitarch travaillait comme barbier à Amposta (Tarragone) et était membre de la CNT. Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps avant de pouvoir retrouver sa compagne et de s’installer à Montpellier où il allait travailler dans le bâtiment jusqu’à sa retraite. Suite à une opération du col du fémur dans les années 1970, il était obligé de se déplacer avec des béquilles. Il fut militant de la CNT et de la Solidarité internationale antifasciste (SIA) de Montpellier jusqu’à son décès survenu le 27 janvier 1990.