Le domicile d’Alfred Perrière , 77 rue Clignancourt à Paris 18ème, figurait en 1935 sur la liste de vérification de domiciles d’anarchistes en région parisienne. En 1946 il figurait toujours sur les listes de domiciles à surveiler.
Le domicile d’Alfred Perrière , 77 rue Clignancourt à Paris 18ème, figurait en 1935 sur la liste de vérification de domiciles d’anarchistes en région parisienne. En 1946 il figurait toujours sur les listes de domiciles à surveiler.
Métallurgiste lyonnais et l’un des animateurs de l’union départementale , militant de la CGTU dès 1922, Perretière fut délégué en tant que suppléant au Ier congrès de l’Union des syndicats unitaires du Rhône qui se tint le 5 août 1923 à Villeurbanne, au Cercle syndicaliste. Il fit partie de la (...)
A la fin des années 1940 J. Pernicone était le directeur du groupe dramatique Pietro Gori de New York qui donna de nombreuses représentations lors de soirées de soutien à L’Adunata dei refrattari et à la section américaine de la Solidarité internationle antifasciste (SIA).
Son fils, Nunzio (...)
A la fin de la Seconde guerre mondiale, Abelardo Permuy était réfugié dans e Pas-de-Calais. Suite à une assemblée générale tenue le 30 juin 1946, il avait été élu secrétaire du Comité CNT de Haisnes aux cotés de Inocencio Purillo (coordination), Severino Gonzalez (trésorier) et Juan Garcia (...)
Capitaine de navire et anarchiste, Alfred Perk avait résidé en Italie de 1925 à 1929, puis en Allemagne de 1931 à 1933 d’où il avait été expulsé et avait gagné Paris où il entra en contact ave le mouvement Giutizia e liberta. En janvier 1935, il était signal par les autorités fascistes (...)