Adhérent depuis l’adolescence à la CNT, José Parramon milita essentiellement à Cassa de la Selva (Géone) à l’exception des périodes où, à la suite de son militantisme et du boycott patronal, il avait dû quitter la localité.
Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps. Après la Libération il milita à la FL-CNT d’Oissel (Seine-Maritime) dont en 1947 il était le secrétaire, puis d’Alès (Gard) où il décéda le 24 décembre 1968.