Lors de la proclamation de la République en 1931, José Utrera était membre du syndicat CNT du petit port de Barbate (Cadix). L’année suivante il adhérait aux Jeunesses libertaires (FIJL) qui venaient de s’organiser et participait à l’Ateneo animé notamment par les frères Juan et José Caro.
Exilé en Afrique du nord (ou en France ?), après la guerre, José Utrera collaborait à Nervio (Paris, 1958-1960) organe de la régionale d’Andalousie en exil.