Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

RUBIO GARCIA, Leonardo

Né le 6 novembre 1895 en Bizcaye — mort le 13 février 1976 — MLE — CNT — Euskadi — Caen (Calvados) — Paris — Béziers (Hérault)
Article mis en ligne le 1er avril 2015
dernière modification le 7 janvier 2025

par ps

Leonardo Rubio Garcia avait commencé à travailler à l’âge de 14 ans et avait adhéré très tôt au mouvement libertaire. Pendant la dictature de Primo de Rivera, il avait dû s’exiler en France où en 1928 il était à Caen, puis à Paris où il côtoyait Ascaso et Durruti. A la proclamation de la République il rentrait en Bizcaye puis participait à la révolution d’octobre 1934 après laquelle il dut de nouveau fuir en France. Après le coup d’État franquiste il participa à la lutte avant de devoir de nouveau s’exiler en France. Il milita à la FL-CNT de Paris puis à partir de 1969 à celle de Béziers où il était allé s’installer.

Leonardo Rubio Garcia est décédé à Béziers le 13 février 1976.

Sa compagne depuis 1928, Justa Olmo Yañez (née à Gallarta en 1908) qui avait commencée à travailler comme bonne dès l’âge de 12 ans, l’avait accompagné dans tous ses exils. Elle est décédée à Avignon le 3 jui 1996.


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