Suite à l’attentat à la bombe commis le 8 octobre 1884 contre la gendarmerie de la rue des Deux Amis, Isidore Mirabel, qui demeurait 31 rue de la Paix, fut arrêté avec une dizaine de compagnons dont Perrelle, Bayle, Chirat, Sagnol, Baudet, Bouchardy, Metail, Paulet et Souchon, mais tous furent acquittés faute de preuves.
MIRABEL, Isidore
Saint-Étienne (Loire)