Inscrit au début des années 1900 à l’état vert n°2, n°3 puis n°4 des anarchistes disparus et/ou nomades, Eugène Volcalir avait travaillé, semble-t-il, à la gare de Reims. Puis il serait parti pour Dijon avec un certain Victor Dugourd et Marie Grosse marchands de brosses métalliques. Il fut radié des contrôles en juin 1911.
VOLCLAIR, Eugène
Né vers 1886 — Colporteur — Reims (Marne) — Dijon (?)