Frère aîné d’Auguste, Jacob Spichiger avait participé avec lui, Fredéric Graissier et Albert Nicolet à l’atelier coopératif horloger de La Chaux-de-Fonds vers le milieu des années 1870. Au printemps 1895 il figurait sur l’État signalétique confidentiel des anarchistes étrangers non expulsés résidant hors de France.
En janvier 1910, il figurait sur une liste d’anarchistes de La Chaux-de-Fonds où il demeurait rue des Rochers et y était qualifié de “anarchiste très violent, actif propagandiste”.