En octobre 1898, suite à une note des autorités italiennes, Jacques Ardissone était signalé comme anarchiste à Nice avec son frère aîné Valentino Ardissone, Jean Battistuti, Mariano Berbeci (ou Barbeci ?) et Giovanini Colombo. Il demeurait 1 rue des Deux Emmanuel où il ne venait que le samedi soir en raison de l’éloignement de la propriété du quartier Saint-Pierre de Féric où il travaillait comme journalier. En mars 1899, le commissaire central de Nice avait demandé aux gardes champêtres de le surveiller tout particulièrement.
En 1903 il demeurait rue Baillol (?) à Nice. En août 1903 la police signalait qu’il avait quitté Nice pour aller dans sa commune de naissance. Revenu à Nice, il fut de nouveau signalé en octobre 1909 comme étant parti pour Diano Marina auprès de sa femme malade.