Charles Decort (orthographié aussi Decorte), était signalé au début des années 1890 comme fréquentant les réunions tenues au 22 rue de la Colline avec entre autres Villeval et Hautstont avec lesquels il était membre du groupe L’Affranchissement de la Libre pensée. Qualifié « d’anarchiste convaincu » et en relation avec des compagnons à l’étranger, il fut l’objet de plusieurs perquisitions.
Le 14 décembre 1892, il fut soupçonné de complicité d’un vol à l’aide fausses clés.
Le 26 janvier 1893, comme plusieurs autres compagnons bruxellois, il fut l’objet d’une perquisition.
Au début des années 1900 il s’était établi comme marchand tailleur et semblait ne plus s’occuper de politique.