Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

LIMA, Campos

Coimbra (Portugal)
Article mis en ligne le 5 janvier 2020
dernière modification le 17 juillet 2024

par R.D.

En avril 1906, à l’occasion d’un voyage étudiant à Paris Campos Lima avait rencontré plusieurs compagnons, dont J. Grave, Matha, S. Faure, Malato et Janvion dont ils fit les portraits dans la brochure Os meus diez dias em Paris (mes dix jours à Paris).

Début 1907 Campos Lima tentait d’ouvrir à Coimbra une école d’enseignement intégral sur le modèle de La Ruche de Sébastien Faure et de l’Escuela moderna de Ferrer. A l’occasion du 1er mai 1908, il voulait commencer la publication d’un quotidien A Boa Nova (la bonne parole) (paru ??)

Oeuvre : — Os meus diez dias em Paris (1906).


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