Attio Casci avait émigré en Tunisie où dans les années 1930 il travaillait au service du compagnon Giulio Barresi qui avait ouvert un petit commerce pour la vente d’huile à Kiribia. C’est à cette occasion qu’il rencontra parfois les compagnon Vicenzo Perrone et Ernesto Danio. Fin 1934, alors qu’il état à l’hôpital pour y soigner une bronchite et des fièvres, il fut interrogé comme d’autres compagnons sur des projets d’attentats en Italie Il avait reconnu sur des photos Perrone et Danio mais avait nié qu’ils aient l’intention de commettre des attentats.
Rapatrié en Italie en 1935, il fut l’objet d’un avertissement pour « activités subversives », puis fut acquitté l’année suivant à l’occasion d’une amnistie. Toutefois en 1940 il était toujours l’objet d’une surveillance.