En 1881, Jean Nicéphore fut membre du comité d’organisation du Congrès ouvrier régional du Midi qui se déroula à Sète. Il y participa comme délégué de la Chambre syndicale des ouvriers tailleurs de pierre et maçons. Il s’y déclara anarchiste et partisan de tous les moyens violents : « Le prolétariat ne doit prendre part à aucune élection ». Lorsque le moment de la Révolution sera venu, Nicéphore ne voulait qu’on ne recule devant aucun moyen violent et recommandait l’emploi du pétrole, de la dynamite, du picrate de potasse, de la nitro-glycérine, etc.
En 1882, il demeurait 3 avenue du Château d’Eau.
En octobre 1882, Nicéphore était le correspondant du « parti anarchiste ». Il recevait de nombreuses correspondances qui cessèrent avec les événements de Montceau-les-Mines.
Il se disait le représentant d’une fabrique d’armes de Saint-Étienne (Loire) et plaçait un assez grand nombre de revolvers à prix réduits.
Nicéphore était membre du Cercle du travail de Sète.