Jules Studler (parois orthographié Stendler) figurait en janvier 1910 sur une liste d’anarchistes de la Chaux-de-Fonds où il résidait avec son frère Fritz rue du Commerce et était qualifié de « fervent adepte du groupe ». Pendant la guerre il vait collaboré à l’hebrdomadaire La Voix du peuple, l’organe de l’organisation sndicaliste révolutionnaire. FUOSR. Le 15 novembre 1918 i fut l’un des signataires du manifeste "Une Séquéstration" protestant contre l’incarcération de Bertoni (affaire des bombes de Zürich).
Il était toujours abonné au Réveil en 1927.