Le 19 février 2017, alors qu’il protégeait une groupe d’étrangers attaqué par un groupe néo-nazi, Taras Bogay avait blessé légèrement l’un de ces fascistes. Passé à tabac, et retrouvé couvert de sang il fut arrêté par la police et accusé d’avoir poignardé un néo-nazi dont l’un dans un faux témoignage accusa Taras de les avoir attaqué et de s’être blessé lui-même. Il risquait alors une peine de prison entre 7 et 9 ans.
BOGAY, Taras
Lviv (Ukraine)