Exilé en France lors de la Retirada, Francisco Morales avait été interné dans divers camps. Pendant l’occupation, il avait été réquisitionné par les Allemands pour travailler d’abord en Normandie puis sur divers chantiers du mur de l’atlantique. A la libération il parvenait à retrouver sa compagne et son fils né en Espagne et s’installait à Mauguio (Hérault). Membre de la FL-CNT et de la Solidarité Internationale Anatifasciste (SIA) de Montpellier, Francisco Morales est mort le 30 avril 1991.
Né le 8 novembre 1903 à Ulea (Murcie) — mort le 30 avril 1991
MORALES, Francisco
MLE — SIA — CNT — Montpellier (Hérault)