Manuel Ferrer Bosch était membre des groupes d’action à Barcelone et du syndicat CNT des transports. Après le coup d’État franquiste de juillet 1936, il fut membre des patrouilles de contrôle et des groupes d’investigation chargés de la lutte contre les partisans du franquisme.
En mars 1937 son nom figurait sur une liste d’anarchistes espagnols susceptibles de venir en France, liste émise par le Ministère de l’Intérieur français recommandant de lui refuser toute entrée ou séjour en France.