Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

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Cet auteur ou autrice a écrit :
C’est en 1969 que le jeune Costanza et sa famille avait émigré en Australie où il s’intégra immédiatement au noyau CNT et au Centro Democratico Español de Melbourne.
Article mis en ligne le 18 janvier 2014
Maximilien Corrieras était l’aîné des frères Corrrieras. Ce n’est qu’à partir de 1896 qu’il commença à fréquenter les réunions anarchistes avec ses frères Jean dit Joannés et Célestin.
Article mis en ligne le 18 janvier 2014
Domicilié 11 rue de la Buire, Jean Corrieras dit Joannes était le cadet d’une fratrie anarchiste composée de son aîné Maximilien et de son benjamin Célestin. Lors de son tirage au sort le 11 (…)
Article mis en ligne le 18 janvier 2014
Célestin Corrieras était le benjamin des frères Correiras. C’est à partir de 1897 qu’il commença à fréquenter les réunions anarchistes avec ses frères Maximilien et Jean dit Joannés.
Article mis en ligne le 18 janvier 2014
Ouvrier fendeur d’ardoises à l’exploitation des Fresnais, Émile Cornuault, qui demeurait 19 Bourg La Croix à Angers, était membre en 1925 du syndicat autonome des ouvriers ardoisiers de Trélazé, (…)
Article mis en ligne le 18 janvier 2014