Passé en France lors de la Retirada, Francisco Pauner Sospedra était réfugié pendant l’occupation à Sète (Hérault) où il était responsable d’un chantier forestier. Lors du congrès tenu en mai 1945 par le MLE-CNT, il participa à la commission sur la Coordination nationale. Après la scission survenue dans la CNT en exil, il adhéra à la tendance dite collaborationniste et collabora à son organe España libre (Toulouse). Puis il émigra en Argentine d’où il continuait au milieu des années 1950 à collaborer à España libre, puis au Chili. Après la réunification de la CNT, il collabora à partir de 1962 à Espoir (Toulouse).