Après la chute du régime fasciste et le début de la lute pour la Libération, Vittorio Monni fut membre avec Augusto Boccone, Lato Latini et E. Puzzoli de la rédaction clandestine de Umanità nova éditée à Florence dont, de septembre 1943 à mai 1945 et dont 14 numéros seront publiés en moyenne à 8000 exemplaires. Après l’arrestation en novembre 1944 de Latrini par les forces alliées et sa condamnation à 5 ans de détention, c’est Monni, Pozzoli et Boccone qui parviendront à sortir le numéro du 28 janvier 1945, rendront public l’affaire Latini et permettant que sa condamnation soit ramenée à un an.
MONNI, Vittorio
FAI — Florence (Toscane)