José Gomez Sanchez avait été membre du comité comarcal du bas et haut Panedes de la FIJL. Il était également militant du syndicat CNT de la construction de Barcelone. Il avait notamment participé à la défense du local de la rue Mecaders au début des années 1930 lors d’un assaut policier. Dès le début du coup d’État franquiste de juillet 1936 il s’était enrôlé dans les milices confédérales et avait combattu sur le front d’Aragon.
Réfugie en France, il résidait en ’Isère où il décédait à Parmillien début 1952 des suites d’une maladie contractée sur le front de Huesca et qui s’était aggravée en exil.