Après le massacre de Huacho en 1917 où avaient été tuées Manuela Chaflojo et Irene Salvador, avait été fondé en 1917 le centre féministe Luz y Libertad, d’inspiration anarchiste et dont la présidente était Luzmila La Rosa assistée de ses parents Juanitaz Grados La Rosa et Maria La Rosa. Le centre participait activement à l’appui des luttes syndicales pour la journée de 8 heures. Luzmila La Rosa collabora au journal Nuestra Tribuna (1923) et fut l’oratrice de diverses conférences sur « la liberté politique, l’égalité économique dans une société de paix et de fraternité humaine ».