Au début des années 1890, Frédéric Colombet qui demeurait 27 rue de Corneille, était célibataire et n’était pas considéré comme dangereux par la police qui notait qu’il s’enivrait parfois. Il demeurait ensuite 49 rue Chaptal à Levallois où le 2 mars 1894 il fut perquisitionné, arrêté puis fiché comme anarchiste avant d’être remis en liberté le 7 mars.
Le 2 avril 1892, à Levallois-Perret il s’était marié avec Louise, Augustine Laprovote, modiste.