Militant de l’entre-deux guerres où il avait collaboré entre autres à L’Anarchie (Paris, 1926-1929) de Simone Larcher et Louis Louvet, au Flambeau (Brest, 1927-1934), à Terre libre (Paris, 1936-1937) de F. Planche et à La Voix libertaire (Limoges, 1929-1939) d’A. Perrissaguet et René Darsouze, Eugène Grandguillotte demeurait dans les années 1930 149 rue Cardinet à Paris 17e et figurait sur la liste de vérifications de domiciles d’anarchistes.
A la Libération, son domicile rue Davy (XVIIe) figurait sur la liste de domiciles à surveiller.
Il fut élu au bureau de La Ruche culturelle et libertaire lors de sa fondation le 15 décembre 1958. La Ruche culturelle regroupait autour de May Picqueray les artistes, conférenciers et écrivains libertaires ainsi que le groupe des Amis de Sébastien Faure.
En 1949-1950 il avait collaboré à l’organe de la Confédération générale pacifiste Les Nouvelles Pacifistes (Paris, 9 numéros d’octobre 1949 à avril 1950) dont l’administrateur était André Maille et le rédacteur Louis Louvet.