Demeurant chez ses parents, 37 rue Murillo, Maurice Greffier avait été signalé en août 1903 par le commissariat central d’Amiens et avait été mis sous surveillance à Vanves où il était jugé comme paraissant “peu dangereux”.
Volontaire en Espagne Marcel Greffier (parfois orthographié Grefrier) était membre d’un groupe de dynamiteros du bataillon Francisco Ferrer de la colonne confédérale Del Rosal. En mars 1937 Le Libertaire publiait une de ses lettres relatant les conditions de vie sur le front. Marcel Greffier a été tué dans un combat à Cuesta de la Reina (date non précisée).