Pendant la guerre civile Juan Higueras Pérez avait été instituteur rationaliste à Aguilas. Il travailla également aux ateliers de chemin de fer et comme ouvrier ébéniste à Barcelone où il fut membre du groupe Anselmo Lorenzo qui, début 1937, demanda son intégration à la Fédération anarchiste ibérique (FAI).
Après la guerre il milita d’abord à Oran (Algérie) plusieurs années puis à Narbonne où au début des années 1970 il était membre de la Commission des groupes Presencia confederal pour l’Hérault et l’Aude. Membre entre 1965 et 1972 de la Commision nationale, il participa au congrès tenu à Narbonne en 1973 par cette tendance qui publiait le journal Frente Libertario.
Juan Figueras Pérez, qui publia plusieurs poésies dans les bulletins Mujeres libres et Nueva Senda, est décédé à Narbonne le 25 août 1997.