Georges Rens était un proche du Groupement communiste libertaire d’Émile Chapelier et de sa colonie de Stockel-Bois. Sous le pseudonyme de Max Borgueil il collabora au début des années 1900 à de nombreux titres de la presse anarchiste belge dont Le réveil des travailleurs (Liège, 1900-1903), L’Émancipation (Bruxelles, 1901-1902), Le Flambeau (Bruxelles, 1902), L’Insurgé (Liège 1903-1909), Le Combat social (Bruxelles, 1912).
Georges Rens est mort à Bruxelles en 1932.
Œuvre : — L’heureuse anarchie, action individulaiste pour l’émancipation (Ed. Le réveil des travailleurs, 1901) ; — Du couvent au harem (s.d.) ; — Les Mémoires du juif errant (Paris-Bruxelles, Librairie moderne, 1922).